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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 14:44

L’Envoyé spécial de Barack Obama dans la région des Grands Lacs est arrivé hier, lundi 9 février 2015, à Kinshasa. Au cours d’un échange avec la presse, le diplomate américain a déclaré que le manque de financement ne devait pas être une excuse pour ne pas organiser les élections en RDC. Les Etats-Unis, a-t-il informé, font en sorte qu’ils soient parmi les premières puissances à pouvoir soutenir la tenue d’élections au Congo-Kinshasa. A cet effet, a-t-il révélé, son pays a déjà décaissé 20 millions de dollars américains. M. Feingold a saisi cette opportunité pour réitérer la demande de son pays de voir le calendrier global être publié, en incluant, clairement, l’élection présidentielle qui, souligne-t-il, devra se tenir avant fin 2016.

Russ Feingold, envoyé spécial de Barack Obama dans la région des Grands Lacs est de nouveau à Kinshasa. Il est arrivé hier, lundi 9 février 2015.

Connu pour son franc-parler, le diplomate américain ne s’est pas fait prier pour prendre position par rapport au processus démocratique au Congo-Kinshasa.

Pour lui, en effet, le transfert de pouvoir au pays de Joseph Kabila doit se faire de manière paisible et démocratique à travers la tenue d’élections crédibles et transparentes. Il a, pour ce faire, réitéré, au cours d’une conférence de presse, la demande des USA appelant à la publication d’un calendrier électoral complet.

‘‘Nous avons réitéré à maintes reprises la nécessité de publier un calendrier électoral complet’’, a-t-il déclaré. Et, avec l’adoption effective de la loi électorale, pense Feingold, les conditions sont là pour que ce calendrier soit publié. Qui plus, le diplomate américain a, particulièrement, souligné le fait que ce calendrier devrait inclure, d’une manière claire, la tenue de l’élection présidentielle qui aurait lieu avant fin 2016.

Peut-on considérer cette demande pressante des USA comme une injonction faite aux autorités Rd-congolaises ? A cette question, l’envoyé spécial de Barack Obama a indiqué que la politique des Etats-Unis en cette matière ne s’applique pas uniquement à la RDC. ‘‘Ce n’est pas une politique, a-t-il précisé, que son pays recommande spécifiquement à la RDC, mais c’est une manière de faire qui va s’appliquer à tous les gouvernements de la région et, au-delà, au continent africain’’.

Cette prise de position de l’envoyé du Président Obama est partagée par l’Ambassadeur américain en poste à Kinshasa qui, au cours de la journée ‘‘Martin Luther King’’ célébrée le vendredi dernier, a déclaré que la démocratie constitutionnelle implique le respect de la Constitution, même par ceux qui pourraient être personnellement désavantagés en la respectant. Cela suppose également le renouvellement régulier des dirigeants, y compris des responsables politiques bien installés dans leurs postes.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 11:09
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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 09:40
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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 09:10

http://www.camer.be/38918/6:1/rd-congo-la-modification-constitutionnelle-anticonstitutionnelle-ne-passera-pas-au-congo-congo-democratic.html#

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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 08:05
Vital KAMERHE, Président UNC
Vital KAMERHE, Président UNC

En République démocratique du Congo, l’opposition soupçonne le président Kabila de vouloir rester au pouvoir après la fin de son deuxième et dernier mandat présidentiel. Et notamment de chercher à faire glisser le calendrier électoral, au-delà de 2016, en imposant un recensement. C’est pourquoi plusieurs leaders de l’opposition avaient appelé à manifester lundi 12 janvier, manifestation qui avait tourné à l’affrontement. Vital Kamerhe, le président de l’UNC, est l’invité de Sonia Rolley.

RFI : Que reprochez-vous à ce projet de réforme de la loi électorale ?

Vital Kamerhe : C’est une stratégique que le président Kabila a trouvé quand il s’est rendu compte que l’opposition avait déjà déclenché une campagne qui avait été soutenue par les évêques et que la population était prête à marcher contre la révision de la Constitution. Il fait la loi électorale qui viole la Constitution parce que cette loi institue les recensements comme condition pour la tenue des élections provinciales législatives nationales et présidentielle. Je voudrais rappeler au président de la République l’article 73 de la Constitution qui dit que le scrutin du président de la République est convoqué 90 jours avant la fin de son mandat. Il n’y aura ni glissement ni un jour de plus ni un jour de moins. Les élections doivent se tenir 90 jours avant le 19 décembre 2016.

L’opposition est minoritaire à l’Assemblée. Comment pensez-vous vous opposer à l’adoption de ce projet de loi ?

L’hémicycle appartient au peuple congolais. Et nous disons donc, le peuple congolais, nous allons lui demander encore une fois, et la date sera communiquée ce soir pour que nous puissions descendre encore à l’Assemblée nationale. Qu’il vote ou qu’il ne vote pas, nous irons là-bas et si d’aventure il vote, nous allons changer de stratégie, nous allons tout simplement dire maintenant que Kabila dégage. Nous allons demander à la population congolaise, de partout, de s’occuper de tout ce qu’il y a comme symbole de Kabila. Donc, ce sera la fin du mandat de Kabila pour nous.

Mais le pouvoir dit que vous avez justement du mal à mobiliser, preuve que vos positions ne sont pas soutenues par la population. Que répondez-vous ?

Le pouvoir mobilise facilement et la garde républicaine et la police et l’infanterie contre une population qui n’est pas armée. Mais malgré ça, les images ne trompent pas. Les vaillants jeunes de Kinshasa sont venus braver les policiers. Il y a eu des blessés, il y a eu mort d’hommes.

Mais lundi lors de la manifestation, vous n’étiez que quelques centaines devant le Parlement ?

Ça, c’est vous et les radios qui avez dit ça devant le Parlement, mais il y avait un attroupement au niveau du rond-point Victoire, au niveau des sièges des partis. Qu’ils soient 300 ou 300 000, un million, c’est l’esprit. Aujourd’hui, les Congolaises et les Congolais, est-ce qu’ils veulent un troisième mandat pour Kabila ? Non.

On a vu que plusieurs rassemblements ou activités d’ailleurs de l’opposition avaient été empêchés par les autorités. Avez-vous tenté des recours par rapport à cela ?

Non, pour le moment, nous sommes déterminés à affronter les forces de l’ordre, à affronter Kabila et donc nous allons demander aux Kinoises et Kinois, au peuple congolais, de chasser la peur. Nous allons l’affronter parce qu’il s’agit pour nous à la fois d’appliquer l’article 23 de la Constitution et l’article 64 de la Constitution. Sur l’article 23 : nous devons jouir de notre liberté de manifester, de parler, d’aller et venir. L’article 64 : quand quelqu’un ou un groupe d’individus veulent exercer un pouvoir en violation de la Constitution, le peuple a le droit de les en empêcher. Et c’est ce que nous allons faire.

L’opposition reste toutefois morcelée. On a vu l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) par exemple ne pas se joindre à votre manifestation de lundi. Est-ce que ce morcellement qui existe encore au sein de l’opposition justement ne vous affaiblit pas ?

Non, je crois que Kabila nous a donné l’occasion de nous rassembler davantage puisque c’est la première fois qu’on a vu autant de leaders de l’opposition. Y compris les leaders de l’UDPS qui siègent au Parlement : Samy Badibanga, Fabien Mutomb étaient avec nous. Ils ont parlé et ils ont fait des déclarations. Etienne Tshisekedi demande le dialogue, mais Etienne Tshisekedi n’a pas dit que Kabila aura un troisième mandat en contrepartie du dialogue. Il ne faut pas qu’il fasse dire à Etienne Tshisekedi ce qu’il n’a pas dit.

Lors de ses vœux, Etienne Tshisekedi a renouvelé son appel à la communauté internationale pour qu’elle organise un dialogue national. La proposition vous paraît-elle pertinente ? Est-ce la priorité aujourd’hui ?

Non, je veux rappeler tout simplement à mon aîné Etienne Tshisekedi que lui-même après la proclamation des résultats, il a dit qu’on ne peut pas dialoguer avec Kabila puisqu’il ment comme il respire. C’est ça le problème. Même si Etienne Tshisekedi prête la bonne foi à Kabila, il est en train de se tromper à mon avis.

Le gouverneur de la province du Katanga, Moïse Katumbi, a pris ses distances avec le président Joseph Kabila. L’appelez-vous à rejoindre l’opposition ? Et pourrait-il être un candidat acceptable justement pour vous ?

Une chose à la fois. Tout ce que nous disons au gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, il a fait une déclaration qui rend compte de ce que nous avions déjà dit avant, pas de troisième mandat. Maintenant, il est l’objet d’injures à la télévision, de tracasseries de tout genre. Je lui dis : « Mon cher Moïse il est temps que vous puissiez dire au président Kabila, monsieur le président j’assume ma position. Je quitte la majorité présidentielle. Je vais dans l’opposition ». Et nous allons l’accueillir à bras ouverts.

Vendredi, cela fera quatorze ans que Laurent-Désiré Kabila a été assassiné, en 2002. Ils sont plus d’une centaine à être représentés devant une cour martiale pour ce crime. Beaucoup sont encore en prison alors qu’en 2013, la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples a statué sur ce cas estimant que les droits des condamnés avaient été violés, qu’un traitement inhumain leur avait été réservé et la Commission avait recommandé leur relaxe. Depuis rien. Qu’est-ce que le gouvernement devrait faire ?

D’abord, c’est une parodie de justice. Le gouvernement devait tout simplement relaxer ces gens-là. Les Eddy Kapend, les Leta Mangasa, les Nono Lutula, tous les jeunes gens du Sud-Kivu sont en train de moisir pendant quatorze ans comme ça en prison. Nous disons que c’est criminel de la part des autorités congolaises. Et le président de la République le sait très bien que Mzee (Laurent-Désiré Kabila, ndlr) m’appelait comme son fils, mais je ne dois pas pour autant accepter que les innocents continuent à croupir en prison. C’est l’occasion aussi d’exiger la libération du secrétaire général de mon parti, Jean-Bertrand Ewanga, qui a été arrêté injustement et de Diomi Ndongala, et du représentant de l’UDPS Bruno Kabatshi et de Mike Mukebayi, votre confrère journaliste qui a été arrêté pour tout simplement avoir donné son point de vue sur une question d’actualité.

Par Sonia Rolley

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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 07:54

DECLARATION DE L'OPPOSITION DU 24/01/2015

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 10:46

DEBAT MENDE , UNC ET CONSORTS

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 10:37



Alors que les deux parties avaient signé la paix des braves le 30 décembre 2013 à la suite du désistement écrit de sa propre main par Mme Wivine Moleka, voilà que le 5 juillet de l’année dernière, Mme la Ministre de la Justice et Droits Humains avait donné injonction au Procureur Général de la République de se pourvoir en cassation contre la décision du tribunal de grande instance de Gombe et d’ordonner le renvoi de la cause devant le tribunal de paix de Ngaliema. On croyait que cette affaire qui avait défrayé la chronique judiciaire et sociopolitique durant l’année 2013avait été enterrée définitivement. Mais non, voilà qu’elle revient à la suite du réquisitoire de pourvoi en cassation introduit par le PGR sur injonction d’une autorité politique en la personne de l’ex-Ministre de la Justice.

L’irrecevabilité du réquisitoire du PGR

Ce mercredi, ça va encore chauffer comme avant-hier lundi à la Cour Suprême de Justice qui, aux yeux des membres de l’UNC, devrait être déclarée incompétente. En effet, déjà en 13 octobre 2014 Me Mukendi Wa Mulumba avait déposé un pourvoi en cassation en invoquant des motifs de droit dont l’irrecevabilité du fait de la transaction conclue en 2013 entre Kamerhe Vital et Wivine Moleka. Cette dernière s’était désistée de toutes les actions introduites d’abord sous le RP 26.633 devant le tribunal de paix de Ngaliema et ensuite sous le RPA 18.648 devant le tribunal de grande instance de la Gombe. Par ces actes de désistement, le ministère public comme partie au procès perdait ainsi sa qualité d’agir. Etant donné que le ministère public est réputé un et indivisible, le pourvoi en cassation introduite par le Procureur Général de la République doit être déclarée irrecevable.

Le bâtonnier national propose de revenir au juge naturel.

Hier à l’audience publique à la Cour Suprême de Justice, le bâtonnier national Matadiwamba, avocat de Mme Wivine Moleka, a fait montre d’une sportivité sans égal et d’un respect des règles de la procédure en demandant aux juges des céans de renvoyer cette cause devant le juge naturel qu’est le Tribunal de Grande Instance de la Gombe. Une façon polie et subtile de déclarer irrecevable le réquisitoire du Procureur Général de la République.

Pour sa part, Me Mukendi Wa Mulumba a ensuite enfoncé le clou en avançant le deuxième moyen de cassation, dont le fait que ce réquisitoire du PGR n’avait pas été soumis à l’examen du juge de fond pour permettre un débat contradictoire. Au cours duquel le public aurait découvert que les deux parties avaient conclu in tempore non suspecto une transaction dans laquelle Mme Moleka avait renoncé à toutes ses actions déposées devant les deux juridictions naturelles, à savoir le Tribunal de Paix et le Tribunal de Grande Instance. En effet, les principes, du contradictoire et le respect des droits de la défense constituent les principales règles qui distinguent l’office du juge du raisonnement juridique tel qu’il peut être pratiqué en dehors du procès.

Le bâtonnier Mukendi Wa Mulumba va plus loin en invoquant une jurisprudence de la même Cour suprême de justice devant laquelle il est venu hier solliciter l’irrecevabilité du réquisitoire introduit par le PGR. En effet, il est établi dans l’arrêt RP 631 Dame Tshimanga Musampa contre Kumbelo et consorts, lque a Cour Suprême avait relevé que les juges pris à partie avaient rejeté la réouverture des débats introduite par Me Tshimanga au motif qu’elle n’avait pas été communiquée aux parties civiles. Ce, au mépris du principe du contradictoire reconnu à toutes les parties d’attaquer et de se défendre, la possibilité de connaitre et de discuter les documents produits, les témoignages déposés.

Comme dans cette cause, Vital Kamerhe est en même temps défendeur et demandeur en cassation, Me Mukendi demande donc aux juges des céans d’ordonner la jonction de la cause RP 090 avec la cause RP 4362 dès lors que les parties au procès sont les mêmes.

F.M. Le Phare du 27 janvier 2015

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 10:33

LES IMAGES EN CAMERA CACHE DE LA REVOLUTION DES CONGOLAIS JANVIER 2015

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 10:27

Les étudiants de l’Université de Kinshasa ne s’y sont pas trompés : poussant des cris de joie, ils sont descendus dans la rue samedi soir dès l’annonce par Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, du retrait d’une disposition de la loi électorale qui subordonnait la tenue des élections présidentielle et législatives à la fin des opérations de recensement. Dimanche, une commission paritaire mixte, réunissant des membres des deux chambres, Sénat et Assemblée, devait finaliser le compromis intervenu. Reformulé par les sénateurs, l’alinéa litigieux stipule désormais que l’actualisation de la liste électorale définitive, en fonction des données disponibles, devra se faire dans le respect des délais constitutionnels et légaux prévus pour l’organisation des élections présidentielle, législatives, provinciales, urbaines, municipales et locales. Autrement dit, que les opérations de recensement soient ou non terminées, il ne devrait pas avoir de « glissement », c’est à dire de report de la date des élections, le scrutin présidentiel étant prévu pour fin 2016, date où s’achèvera le deuxième et en principe dernier mandat du président Kabila.
Après son adoption par la commission paritaire, la loi électorale sera envoyée pour promulgation à présidence de la République qui ne devrait pas s’y opposer, puisque le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, membre de la majorité présidentielle, a déjà ratifié le compromis, vraisemblablement en concertation avec le président Kabila lui-même.
Cet alignement sur la lettre des prescrits légaux, qui a instantanément calmé les esprits, est intervenu après une longue semaine émaillée de troubles qui ont fait craindre de voir le Congo suivre l’exemple du Burkina Faso, où le président Compaoré, qui avait voulu modifier la Constitution, avait fini par être emporté par une révolte populaire.
Tout au long de cette semaine marquée par des émeutes, des violences, des journées ville morte et des manifestations ainsi que par la coupure de l’accès à Internet, les Congolais, aussi bien à Goma et Bukavu qu’à Kinshasa, ont fait plus que répondre aux appels des partis d’opposition, d’ailleurs rapidement débordés par la rue: ils ont prouvé leur attachement à l’esprit de la Constitution, qui prévoit que le chef de l’Etat ne peut exercer que deux mandats successifs et ils ont démontré qu’ils ne seraient pas dupes d’éventuelles « entourloupes ». Autrement dit, dans ce Congo souvent décrit, -injustement- comme un « Etat en faillitte », les Congolais ont démontré à quel point ils tenaient à des institutions fortes, soutenues par le respect des lois fondamentales. Ces manifestants, soudain transformés en constitutionnalistes sourcilleux, ont aussi démontré la capacité de mobilisation politique du pays tout entier et réussi à se faire entendre, d’abord par les sénateurs qui ont fait prévaloir la voix de la sagesse et finalement par la majorité présidentielle qui a renoncé, à ce stade en tous cas, à la tentation du passage en force.
Cela étant, la crise soudain dénouée laisse une certaine amertume : elle a illustré le fossé qui séparait l’opinion populaire d’un pouvoir volontiers autiste, longtemps sourd aux avertissements qui n’avaient pas manqué, elle a provoqué un usage inconsidéré de la force (désavoué par le président de l’Assemblée) qui aurait fait 42 morts selon la Fédération internationale des droits de l’homme ainsi que de nombreux blessés et prisonniers d’opinion (dont l’ex bâtonnier de Lubumbashi, Me Jean-Claude Muyambo.)
La leçon de sagesse adressée au pays par un Sénat que l’on disait en perte de vitesse et finalement, par toute une classe politique mise sur la sellette va de pair avec la vigilance de la population qui n’acceptera plus que l’on modifie les règles du jeu deux ans avant la fin de la partie…

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