Le président congolais « Joseph KABILA KABANGE », aurait activé la machine de la mort politique et l'élimination physique de Vital KAMERHE, Président de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) et Autorité Morale de la Coalition pour le Vrai Dialogue (CVD), a confié sous couvert d'anonymat une source digne de foi à l'Agence Nationale de Renseignements (ANR). Selon la même source, KAMERHE doit être très vigilant pendant ses déplacements, de jour comme de nuit. Car quelque chose de fatal risque de frapper l’UNC dans les jours qui viennent !
Après l'affaire de la DGM reprend subitement l'affaire Wivine MOLEKA, de la Majorité Présidentielle, contre l'Honorable Vital KAMERHE. Procès pénal à caractère politique ou Politique à caractère pénal. Chacun fera sa lecture...
Vital KAMERHE, l’un des plus farouches opposants au pouvoir en place, a solennellement salué la mémoire du Colonel Mamadou Ndala, assassiné par ses propres frères d'armes, le 2 décembre dernier, à Beni. Pour lui, cet assassinat prouve une fois de plus que la paix reste encore à rechercher dans la partie Est de la République Démocratique du Congo (RDC), tout comme dans l’ensemble du pays. C’était lors d’un meeting tenu, le vendredi 3 janvier 2014, à Kinshasa.
L'UNC doit tout simplement ouvrir l'oeil et le bon. Car, Vital KAMERHE est dans la ligne directe de la situation de M. Eugène DIOMI NDONGALA. Si l'UNC ne fait pas attention, KAMERHE sera éliminé.
[Video source : UNC]
Vital Kamerhe, le président de l’Union pour la Nation congolaise (UNC) et opposant au régime Kabila, explique, dans cet entretien, pourquoi son parti refuse de participer aux concertations nationales s’ouvrent dans quelques jours à Kinshasa, à l'initiative de la majorité présidentielle.Notre Afrik: allez-vous participer aux concertations nationales qui vont bientôt s’ouvrir à Kinshasa?
Vital Kamerhe: Non, nous n’allons pas y participer. Cette décision avait été prise au cours d’une réunion regroupant l’opposition parlementaire et extra parlementaire le 1er juillet dernier. Car nous estimons qu’un vrai dialogue national doit avoir lieu tel que prévu par le point 14B de l’accord cadre d’Addis Abeba, signé par onze chefs d’Etats et quatre organisations. Cet accord prévoit un dialogue sous l’égide de Mary Robinson, l’envoyée spécial de l’ONU pour les Grands lacs.
Certains partis de l’opposition ont pourtant déjà choisi leurs délégués …
C’est la répétition de l’histoire. Mais comme vous savez, certains sont toujours prêts à se renier. Ils oublient que l’avenir du pays est plus important que nos personnes.
Que représentent donc ces concertations nationales?
C’est tout simplement du gâchis. C’est de l’argent de l’Etat qui va être jeté par la fenêtre. On nous parle d’un acompte de 5 millions de dollars qui a été versé pour ces concertations, alors que nous avons d’autres problèmes plus urgents dans le pays.Nous avons trois millions de réfugies à l’Est, une armée nationale à reconstruire, d’énormes défis sociaux. Et puis, sérieusement, les congolais n’ont pas besoin de recevoir des per diem pour discuter de la paix et de l’avenir de leur pays.
Ne craignez-vous pas de rater un train de l’histoire …
Quel train? Un train qui va vers l’enfer! Soyons sérieux, tout le monde connait les problèmes de la RDC: une crise de légitimité doublée de l’insécurité qui sévit à l’Est du pays.
S’acheminerait-on vers une impasse?
Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Je crois que le président Kabila doit procéder à de vraies consultations pour savoir ce que pensent la classe politique, la société civile, l’Eglise, l’armée. Ce qui se passe actuellement est un énorme gâchis et un jeu de dupes.
Le président du Sénat, Kengo Wa Dondo, se déclare favorable à un gouvernement d’union nationale …
C’est son point de vue. Le conseil que je dois lui donner, est de faire attention et de ne pas se retrouver dans un marché de dupes. Nous ne sommes plus à l’époque de Mobutu. Je lui demande de faire attention. Le problème du Congo est celui du leadership que nous devrons asseoir à la tête de l’Etat. Les Congolais souffrent de la maladie du partage du pouvoir. Nous disons clairement que l’opposition politique ne participera à aucun gouvernement d’union nationale. Nous disons aussi que nous nous opposons à la prolongation du mandat de Kabila en 2016
Souscrivez-vous à la médiation du président congolais Sassou Nguesso?
Puisque le président Sassou n’est pas impliqué dans la guerre en RDC, nous pouvons l’accepter pour nous mettre ensemble, mais pas pour nous dire ce qu’il faut faire. Nous lui recommandons d’être prudent et de poser certains préalables avant de s’impliquer
Le général congolais Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale (CPI), s'est rendu à l’ambassade des États-Unis à Kigali ce lundi, selon le gouvernement rwandais. Washington a confirmé l'information.
Mis à jour à 18h44.
« Nous avons appris aujourd’hui que Bosco Ntaganda s’est présenté à l’ambassade des États-Unis [à Kigali] tôt ce matin », a affirmé Louise Mushikiwabo, la ministre rwandaise des Affaires étrangères dans un communiqué, lundi 18 mars.
Le département d'État américain a confirmé en fin d'après-midi que Bosco Ntaganda s'était rendu à leur ambassade à Kigali. D'après sa porte-parole Victoria Nuland, Ntaganda a demandé à être transféré à la Cour pénale internationale (CPI). Washington serait en train d'examiner sa demande.
Sous le coup d’un mandat d’arrêt de la CPI depuis août 2006, ce chef rebelle congolais, surnommé « Terminator », était obsédé par le risque d’une arrestation. Ancien numéro deux de la rébellion majoritairement rwandophone du Congrès national de la défense du peuple (CNDP), Bosco Ntaganda avait succédé en janvier 2009 à Laurent Nkunda à la tête du mouvement, après l’arrestation de ce dernier par le Rwanda. Le gouvernement américain a confirmé que Ntaganda était à l'intérieur de l'ambassade américaine de Kigali et a même précisé que celui-ci avait demandé à être transféré à la CPI, aux Pays-Bas.
Influence
Réintégré dans les Forces armées de RDC (FARDC) à la faveur des accords du 23 mars 2009 avec Kinshasa et promu général dans la foulée, il a vécu trois ans durant à visage découvert, dans l’est du pays. Mais en mai 2012, craignant une arrestation, il avait pris le maquis dans le Nord-Kivu.
D’autres officiers congolais, principalement rwandophones, avaient déserté quasi-simultanément pour former une nouvelle rébellion, le Mouvement du 23 mars (M23), réclamant la pleine application des accords de 2009. Dirigé militairement par Sultani Makenga, le M23 a toujours nié que Bosco Ntaganda en faisait partie. Mais celui-ci exerçait, au minimum, une influence au sein du mouvement par l’intermédiaire d’officiers qui lui étaient proches ainsi que du président du M23 lui-même, Jean Marie-Runiga.
En novembre 2012, la rébellion avait pris la ville de Goma, la capitale de la région du Nord-Kivu, pourtant défendue par la Mission des Nations-Unies en RDC (Monusco), avant de se retirer au bout de quelques semaines. Malgré ce succès, les tensions entre pro-Makenga et pro-Ntaganda au sein du M23 étaient devenues de plus en plus insoutenables ces dernières semaines, Bosco Ntaganda craignant notamment d’être arrêté par la faction de Makenga.
Incertitudes
Le mouvement avait finalement éclaté le 28 février, avec la défection de Jean-Marie Runiga et des officiers proche de Bosco Ntaganda. Après deux semaines d’affrontements entre les deux factions du M23, le dernier carré de fidèles de Bosco Ntaganda avait été défait le 15 mars. Jean-Marie Runiga et quelque 600 soldats s’étaient réfugiés au Rwanda le lendemain. Les détails du chemin emprunté par Bosco Ntaganda pour arriver jusqu’à à l’ambassade des États-Unis à Kigali est pour l’instant inconnu. Tout comme son avenir proche.
Les États-Unis avaient récemment inclus Bosco Ntaganda dans leur programme « Rewards for justice », qui promet une récompense pour toute information permettant la capture de criminels de guerre en fuite. Le Rwanda, qui n’est pas signataire du Traité instituant la CPI, s’était toutefois engagé, dans l’Accord cadre sur les Grands Lacs signé à Addis-Abeba, le 24 février, à « ne pas héberger, ni fournir une protection de quelque nature que ce soit aux personnes accusées de crimes de guerre ».
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Par Pierre Boisselet
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INVITATION
L’UNC BELGIQUE en collaboration avec le Secrétariat Général de L’UNC vous convie à une rencontre interfédérale à Bruxelles sous le thème :
«UNC DIASPORA : Evaluations, Stratégies, Perspectives et avenir »
La rencontre aura lieu, le samedi 02 juin 2012 à 12h00 au Centre ELZENHOF (salle 1) Avenue de la Couronne 12-16 à 1050 Ixelles prolongement de l'avenue du Trône.
Invités : le directeur du cabinet du SG Monsieur Fidel SAID et les délégations UNC Diaspora/EUROPE »
N.B: La contribution ainsi que les rapports d’activités des fédérations de la diaspora seront envoyés auprès du Secrétariat Général.
L’UNC BELGIQUE compte sur votre présence et vous prie de croire, chers camarades, à l'expression de nos sentiments patriotiques.
Secrétaire Fédéral UNC Belgique
Tatu Hilaire Lumbaie
UNION POUR LA NATION CONGOLAISE
Après le fait accompli électoral, les activités politiques commencent timidement à reprendre dans la diaspora congolaise.
L'Union pour la Nation Congolaise (UNC), le parti de Vital Kamerhe, par sa fédération de Belgique, a organisé une matinée politique, profitant du séjour du président du conseil national du parti en Belgique.
Les auteurs de l’éclatement du Congo ne désarment pas. Ils débordent d’imagination pour concrétiser leur vaste plan machiavélique. Tel est le cas de cette «négociation» autour du delta de la Ruzizi, entre la RDC et le Burundi. La balkanisation de la RDC est en marche.
Lorsque le Rwanda, le Burundi et l’Ouganda avaient brandi le prétexte sécuritaire pour agresser la République démocratique du Congo, en s’appuyant sur la présence des Interahamwe, les FDLR, on ne s’imaginait pas qu’il s’agissait là du début du complot de la balkanisation de la RDC. Le temps a fini par donner raison aux Congolais qui dénonçaient l’occupation de leur territoire par des pays étrangers. Tout le tralala bien orchestré depuis la tribune des Nations unies et cette kyrielle de conférences, de négociations, ne visaient qu’à fatiguer les Congolais.
Mais face à la résistance de ce même peuple congolais, les faiseurs de guerre ont changé le fusil d’épaule pour se manifester sur le plan économique. Outre le pillage systématique des richesses nationales dans le but d’affaiblir davantage la RDC, ils se sont illustrés par des «plans» tout aussi funestes que le complot lui-même et s’appuient sur «le partage des ressources» sous le principe de «la commercialisation responsable des ressources» de la région des Grands Lacs. Les auteurs de ces plans n’ont même pas hésité à demander à la RDC de partager ses ressources avec ses voisins, notamment le Rwanda. Entre-temps, dans ce pays, l’on s’employait à créer une «zone franche», une sorte de «paradis fiscal» pour mieux contrôler les revenus de la vente des richesses congolaises. Et dans les couloirs du département d’Etat à Washington, l’on disait que le «Kivu appartenait déjà au Rwanda». Allusion faite aux déclarations d’Herman Cohen, ancien sous-secrétaire d’Etat américain aux Affaires africaines dans une interview postée sur Youtube. net
Pendant qu’on y réfléchit encore pour maîtriser les tenants et les aboutissants de ces «plans de partage en commun des ressources de la RDC», voilà qu’on enregistre des indices sérieux qui renforcent l’inquiétude.
Le premier, et toujours le même prétexte, est d’ordre sécuritaire. En effet, le Burundi, par la bouche du général Evariste Ndishimiye, chef de cabinet du président burundais en charge des questions militaires «demande au gouvernement congolais de renforcer le contrôle à la frontière pour ne pas servir de bases arrières aux rebelles du FNL». Selon le pouvoir de Bujumbura, les rebelles du FNL se replient dans la forêt de Rukoko, en RDC, pour s’organiser et attaquer le Burundi, en vue de déstabiliser ses institutions. Cela rappelle la question des FDLR. Il y eut des opérations militaires conjointes avec le Rwanda pour les neutraliser. Rien n’y fit jusqu’à ce jour. Les FDLR sont toujours là et l’on donne l’impression de s’accommoder avec leur présence. Une implantation déguisée, diraient certains. Aussi, cette attitude de Bujumbura n’est pas du tout un fait divers. Elle découle d’une logique bien établie avec un objectif bien précis.
DELTA DE LA RUZIZI
Deuxième indice qui renforce le premier, et c’est le plus inquiétant, c’est la discussion autour du delta de la Ruzizi, entre la RDC et le Burundi.
Une commission mixte a déjà été mise sur pied et a tenu deux importantes séances de travail, à Bukavu et à Bujumbura. La discussion porte sur la démarcation de la frontière commune. Le point focal est bien sûr le delta de la Ruzizi au niveau de Gatumba et Kabonga, et qui accuserait une superficie d’au moins 8 000 km2.
Il serait question de «clarifier» ces zones d’ombre. D’autant que Bujumbura envisagerait la remise en cause l’Arrangement du 14 mai 1910 signé entre le Royaume de Belgique et l’Allemagne. Mais selon la Convention de Bruxelles d’août 1910 qui prend en compte cet arrangement de mai 1910, ensuite la Convention de Berlin de 26 août 1910 donnant instruction à la Commission mixte belgo-germano-britannique, cette limitation part du Lac Kivu au Lac Tanganyika, du nord au sud. Et il est souligné que cette frontière est constituée par la ligne médiane. «Cette solution, généralement bien admise, est d’ailleurs conforme aux principes de droit international public, à la déclaration de neutralité du 1er août 1885, à la déclaration de Bruxelles du 18 décembre 18 décembre 1894, à l’esprit de la Convention du 8 novembre 1894 par laquelle l’Allemagne a reconnu l’Etat Indépendant du Congo et à la convention belgo-allemande du 11 août 1910 approuvant l’arrangement de frontière du 14 mai 1910», lit-on dans les textes officiels.
La question qui préoccupe est celle de savoir les vrais mobiles qui pourraient justifier une éventuelle démarche commune de la RDC et du Burundi à remettre en cause les frontières héritées de la colonisation et lors des indépendances africaines. Pourquoi en ce moment précis ?
Des analystes voient en cette démarche subtile, une façon pour le Burundi d’exercer une pression sur la RDC au Nord-Kivu à l’image du Rwanda au Sud-Kivu où sa présence est omniprésente. Comme si déjà on se partageait la RDC à partir des deux Kivu.
Le prochain Parlement a du pain sur la planche. Car, il ne s’agit rien d’autre que des ballons d’essai en vue de porter, le moment venu, l’estocade pour réaliser le projet funeste de la balkanisation de la RDC.
NOUVELLES VILLES ET COMMUNES AU NORD-KIVU
Entre les deux indices, les observateurs sont surpris d’une autre chose ; le Décret 012/11 du 12 février 2012 portant création de trois villes et plusieurs communes dans la province du Nord-Kivu. Il s’agit de nouvelles villes suivantes : Luholu (avec comme communes Kayna, Kirumba, Luofu et Mighobwe), Oïcha (avec Asefu, Mamundioma et Mbimbi), Rutshuru (avec Buzito, Katemba, Kiringa et Mahungo)…. Et les communes ci-après Bambo, Bulongo, Hombo-Nord, Kanyabayonga, Kaseghe, Kasindi, Kibirizi, Kibumba, Kilambo, Kipese, Kirungu, Kitsombiro, Kyondo, Lubero, Luoto, Mangina, Masereka, Masisi, Mubi, Ndjingala, Ngungu, Njiapanda, Nyamilima, Nyamitaba, Nyanzale, Pinga, Bushimoo, Rubaya, Sake, Tshengerero, Walikale….
Admettons que ce décret soit conforme à la loi. Pourquoi a-t-il été pris en période transitoire alors que l’on est en train de mettre en place les nouvelles institutions ? En effet, l’Assemblée nationale n’a pas encore de bureau définitif, pas de Premier ministre ni de gouvernement issus des élections. Qu’est-ce qui motive cette précipitation qui ne concerne que la province du Nord-Kivu ? Dire qu’actuellement, dans cette province, les conflits fonciers font rage avec ces mouvements massifs de déplacement et d’arrivée des populations ainsi que des réfugiés, il y a à craindre que ce découpage pose de réels problèmes.
Il y a anguille sous roche. De là, à conclure que l’on est en train de placer une bombe à retardement, il n’y a qu’un pas à franchir pour affirmer cette hypothèse. En effet, selon des investigations menées, ce décret a été porté à la connaissance du public juste après l’audience que le Premier ministre intérimaire a accordée au gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku. Cette coïncidence curieuse suscite de nombreuses interrogations et rejoint des analyses autour du «dépeuplement, peuplement ou implantations» dans les deux Kivu. Ces nouvelles villes et communes ont-elles été décidées à dessein ? Serait-ce en prévision de prochaines élections provinciales et municipales ou en fonction de la mise en place ou réforme de l’Administration publique et Entités territoriales ? Autant d’interrogations pertinentes.
Au demeurant, tout se passe comme si les événements se recoupaient. On s’emploie ainsi à tourner en bourrique toute la classe politique par des «crises politiciennes» programmées pour prouver à la face du monde son incapacité à diriger un pays aux dimensions géographiques de la RDC, aux nombreuses richesses incontrôlées. Pendant ce temps, s’effectue un travail en profondeur afin de tourner aussi tout le peuple congolais en dérision. L’effet de surprise consistera à placer les Congolais devant un fait accompli. Pilule difficile à avaler.
Par Le Potentiel
Les Thèmes du 1er Conclave de la Plate-forme « Alternance Vital KAMERHE »
tenu du 08 au 10 février
au Quartier BINZA, Commune de NGALIEMA dans la Ville Province de Kinshasa
1ère Journée
2ème Journée
3ème Journée
Les résolutions du 1er Conclave de la Plate-forme « Alternance Vital KAMERHE »
tenu du 08 au 10 février
au Quartier BINZA, Commune de NGALIEMA dans la Ville Province de Kinshasa
Les responsables des partis politiques, associations et organisations ainsi que les personnalités réunis en conclave ont dégagé les résolutions ci-après :
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